Sos Titanic - Journal De Julia Facchini, 1912
15 avril 1912, 2 h 20 du matin. Je suis sur le pont avec d'autres passagers. Personne ne parle. Les hommes ont le visage grave, une femme prie. Le capitaine du Carpathia a posté des vigies à l'avant, avec mission de guetter les glaces à la dérive, ou le moindre signe du Titanic. Tout paraît tranquille, trop tranquille. Comment imaginer qu'à quelques milles d'ici, un navire aussi énorme soit en perdition ?
Sos Titanic - Journal De Julia Facchini, 1912
15 avril 1912, 2 h 20 du matin. Je suis sur le pont avec d'autres passagers. Personne ne parle. Les hommes ont le visage grave, une femme prie. Le capitaine du Carpathia a posté des vigies à l'avant, avec mission de guetter les glaces à la dérive, ou le moindre signe du Titanic. Tout paraît tranquille, trop tranquille. Comment imaginer qu'à quelques milles d'ici, un navire aussi énorme soit en perdition ?