Les Lendemains Qui Chantent
L'auteur se retourne vers des espaces de son enfance où une bâtisse enlace singulièrement une église. Il compose avec les animations ordinaires de familles de locataires d'un immeuble de quarante-quatre logements. Il nous accueille, avec humour, au coeur d'une courette éclairée par un petit carré de ciel où, parfois : « Mes Mioches, écrit-il, reçoivent des clins de soleil ». Il révèle la saveur présente du quotidien ordinaire des « Gens de la moyenne » où ses Mioches sont ouverts à la rue de l'église. Cette rue commerçante est leur livre. Nous sommes transportés dans le cours des années 1950 et 1960. Soucieux de leur devenir, ses Mioches sont animés par une croyance convenable, celle de croire en des « Lendemains qui chantent ».
Les Lendemains Qui Chantent
L'auteur se retourne vers des espaces de son enfance où une bâtisse enlace singulièrement une église. Il compose avec les animations ordinaires de familles de locataires d'un immeuble de quarante-quatre logements. Il nous accueille, avec humour, au coeur d'une courette éclairée par un petit carré de ciel où, parfois : « Mes Mioches, écrit-il, reçoivent des clins de soleil ». Il révèle la saveur présente du quotidien ordinaire des « Gens de la moyenne » où ses Mioches sont ouverts à l...