Finie La Comédie
Ce n'est pas le critique du Monde qui le dit à propos du théâtre, mais un écrivain à qui toute vie culturelle semble devenue de la frime, et qui s'en plaint comme font les moralistes : vite, d'un sourire à ses dépens. La frime ? C'est l'espèce de culte inculte rendu en France aux "intellectuels" - écrivains, professeurs, artistes, technocrates, journalistes et autres privilégiés, dont l'auteur lui-même . c'est la vanité qu'ils en tirent, leur prétention à sermonner le monde, leur illusion d'échapper aux bêtises basses de l'argent. S'ils cessent de prendre la pose, et pour peu que leur vitrine vole en éclats, les voilà vite tels qu'ils sont tous, bourgeois, boutiquiers, bouffons, soumis aux modes, aux emballements truqués, aux emballages perdus, aux alibis, aux simagrées. De ces vérités si masquées et navrantes que seul l'humour peut encore les regarder en face, gaiement.
Finie La Comédie
Ce n'est pas le critique du Monde qui le dit à propos du théâtre, mais un écrivain à qui toute vie culturelle semble devenue de la frime, et qui s'en plaint comme font les moralistes : vite, d'un sourire à ses dépens. La frime ? C'est l'espèce de culte inculte rendu en France aux "intellectuels" - écrivains, professeurs, artistes, technocrates, journalistes et autres privilégiés, dont l'auteur lui-même . c'est la vanité qu'ils en tirent, leur prétention à sermonner le monde, leur illusion d'écha...