C'est Le Printemps, Jeanne-Marie
Chaque jour de printemps, Jeanne-Marie et Patapon son mouton emmènent Madelon, la cane blanche, à la rivière. «Nage, nage, Madelon, mais fais bien attention, ne va pas trop loin.» Mais un jour Madelon descend la rivière, très loin, sans qu'on la voie. Ce classique de la littérature jeunesse américaine, écrit outre-Atlantique par Françoise en 1955, est traduit pour la première fois dans la langue maternelle de l'auteur.
C'est Le Printemps, Jeanne-Marie
Chaque jour de printemps, Jeanne-Marie et Patapon son mouton emmènent Madelon, la cane blanche, à la rivière. «Nage, nage, Madelon, mais fais bien attention, ne va pas trop loin.» Mais un jour Madelon descend la rivière, très loin, sans qu'on la voie. Ce classique de la littérature jeunesse américaine, écrit outre-Atlantique par Françoise en 1955, est traduit pour la première fois dans la langue maternelle de l'auteur.